Voyager léger et n’accorder aux biens matériels que l’importance qu’ils méritent...

L’accès à la propriété est certes une étape importante dans la construction d’un homme (« homme » au sens « être humain »), mais elle devrait toujours être suivie d’une étape toute aussi importante, où l’homme apprend à dépasser le stade de l’attachement matériel :

Il apprend à faire siens non pas des biens matériels et périssables (au sens « objets extérieurs à l’homme qui peuvent être détruits à tout moment contre sa volonté », comme une maison par exemple), mais des biens immatériels, dont il peut être le véritable propriétaire et jouir selon son bon vouloir : la liberté, l’amour, la tolérance, etc.

Cette étape lui permet de comprendre qu’il est capable de :

  • 1. fixer ses propres règles du jeu,
  • 2. transcender ses peurs (le temps en fait partie),
  • 3. créer ce qu’on appelle « le bonheur ».

Il serait temps que l’homme comprenne que ce n’est pas en accumulant les objets, l’argent, les signes extérieurs de richesse, qu’il trouvera le bonheur, car le bonheur ne se trouve pas : il se crée.

La vie est bien trop courte pour se regarder le nombril, s’apitoyer sur son sort, ou dépenser de l’énergie à s’énerver contre ses congénères !

Avec un peu de recul et d’humour, et beaucoup d’amour, il ne tient qu’à nous de modeler notre vie pour en faire ce que nous voulons.

Posez vous 2 secondes pour y réfléchir...
C’est tellement simple en fin de compte.
On se prend vraiment la tête pour pas grand chose.

Voyageons léger.

Je crois que je suis un idéaliste, un doux rêveur, une sorte d’utopiste qui croit en l’espèce humaine... il paraît que c’est une maladie incurable !